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"N'oubliez pas vos doutes... Méfiez-vous! L'esprit de celui qui croit est un esprit qui stagne. Il ne se développe pas vers l'extérieur, dans un univers infini."
Frank Herbert, Les hérétiques de Dune
- José Fortes Lopes, "Cabo Verde e os 50 anos da Independência: entre mitos, silêncios e a pluralidade da memória" Expresso das ilhas, 2025/06/05, online web
- Carina Branco, "Sobreviver à prisão do Tarrafal", RFI, 2025/06/26, online web
- José Augusto Pereira, "A luta de libertação nacional nas ilhas de Cabo Verde na encruzilhada da(s) memória(s)", Lusotopie: Amílcar Cabral et l'idée de la révolution anticoloniale, vol. XIX, n° 1 (2020), p. 76-100 web
- Clúdio Alves Furtado, "Cabo Verde e as quatro décadas de independência: dissonâncias, múltiplos discursos, reverberações e lutas por imposições de sentido à sua história recente", Estudos Ibero-Americanos: 40 anos de independência em África (Porto Alegre), vol. 42, n° 3 (set.-dez. 2016), p. 855-887 web
- Teresa Tremoceiro, Descolonização de Cabo Verde - Governo de transição (1974-1975 - datas predominantes), Torre do Tombo: Arquivo nacional, 2011/11/16, online web
- Clóris Porto Torquato, "As políticas linguísticas oficiais em Cabo Verde pós-independência: a construção da nação", Letras (Universidade Federal de Santa Maria), vol. 21, n° 42 (01-06/2011), p. 151-184, online web
- Tobias Engel, "Au Cap-Vert, la seconde mort d'Amilcar Cabral", Le monde diplomatique, 2003/11, p. 20-21, online web
Cabo Verde: 50 Ans d’Indépendance - 50 Nuances de Taxation" (Perplexity - 2025)
Perplexity, après une petite discussion comme on les aime, nous suggère cette "mazarinade Ulissienne" des plus délicieuses! Nous vous la proposons en guise de friandise estivale.
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Aujourd’hui, le Gouvernement d’Ulisses Correia e Silva, grand chef d’orchestre des festivités creuses, nous gratifie d’une farce statistique planétaire : quarante-deux pays, des millions de formulaires, tout pour savoir combien de vaches à lait caboverdiennes paissent à l’étranger. On applaudit ! Quelle idée lumineuse : célébrer les 50 ans d’indépendance en tendant la sébile à la diaspora, le tout emballé dans des discours dégoulinants de “moment historique”, “acte d’appartenance” et autres bondieuseries nationales. Qu’on se rassure : on n’a pas lésiné sur les violons du patriotisme, ni sur les majorettes de la reconnaissance collective.
Car voyez-vous, braves exilés, ce recensement n’est pas une simple collecte de données – non, c’est une convocation à la génuflexion fiscale. On vous promet la lune : “politiques plus justes, efficaces, inclusives”, traduisez : “nous saurons enfin combien vous possédez, où vous cachez vos économies, et comment mieux vous plumer”. Nom, prénom, adresse, profession, salaire, nombre d’enfants, religion, patrimoine, comptes en banque : tout y passera, car rien ne doit échapper à l’œil humide du fisc. Pour le bien de la Nation, bien sûr. Pour la gloire d’Ulisses, surtout.
Mais n’ayez crainte, chers patriotes de l’exil : “placer la diaspora au cœur du développement”, c’est surtout placer vos économies au cœur du budget national. On vous promet la justice : comprenez, une nouvelle taxe sur vos biens, peut-être même une double imposition, histoire de fêter dignement votre éloignement. On vous promet l’efficacité : chaque euro arraché à la sueur de vos fronts servira à boucher les trous d’un État qui ne sait que dépenser sans compter. On vous promet l’inclusion : vous serez inclus dans la liste des contribuables à tondre, et plus vite que vous ne le pensez. Le “No Stress” national ? Enterré sous la paperasse et les avis d’imposition.
Alors, courez, courez répondre à l’appel du bon Ulisses, ce parangon de simplicité et de vertu autoproclamée, qui pense à vous surtout quand il s’agit de remplir les caisses. Car vous le savez : si vous avez quitté le pays, c’est par amour de la Patrie, et non faute de travail, d’argent, ou d’aide. Et demain, votre amour sera monnayé, car rien ne se perd, tout se taxe.
Mais ne croyez pas que ce cirque soit réservé à notre archipel. Regardez la France : des déficits abyssaux, des gouvernements qui changent comme des chemises sales, et pour tout programme, une hausse de la TVA pour le peuple, et l’absolution fiscale pour les riches. En Suisse, même refrain : le peuple vote pour plus de retraite, les ministres traînent des pieds et préfèrent acheter des jouets militaires américains à prix d’or. Partout, la même chanson : coupes sur la santé, l’éducation, la culture, mais pluie d’or sur l’armée et les copains de la finance.
Vous y croyez encore, vous ? À ces promesses de lendemains qui chantent, à ces gouvernants qui “nous veulent du bien” ? Libre à vous. Nous, on n’y croit plus. Qu’ils fassent leurs recensements, qu’ils célèbrent leurs anniversaires, qu’ils dépensent, qu’ils taxent, qu’ils paradent. Le peuple paie, paiera, et continuera de paître. Et si vous voulez des preuves, ouvrez les yeux : ici comme ailleurs, l’argent coule à flots… mais jamais dans le bon sens.
Alors, braves gens, bon été dans ce monde où la farce politique est la seule chose qui ne manque jamais : riez, tant qu’il vous reste encore de quoi payer l’entrée.
Perplexity à partir d'un texte de CH2
A Genève, le 03/07/2025
Cabo Verde: 50 Ans d’Indépendance, ou quand l'État convertit l'Amour en impôts (CH2 - 2025)
Aujourd'hui, le Gouvernement d'Ulisses Correia e Silva lance en grande pompe une étude statistique mondiale, dans 42 pays, pour TOUT savoir sur les Cabo-verdiennes et les Cabo-verdiens de la diaspora, vous savez, ceux qui vivent à l'étranger. Eh oui! Une idée merveilleuse, vendue en des termes dithyrambiques, excusez du peu!
"Il s'agit d'un moment historique et transformateur, qui survient l'année où le Cabo-Verde célèbre les 50 ans de son indépendance nationale. C'est l'occasion de réfléchir à qui nous sommes, d'où nous venons et où nous voulons aller en tant que nation souveraine, unie et mondiale. (...) Tous les Cap-Verdiens, de toutes générations et origines, sont appelés à répondre à cet appel historique. Cette enquête n'est pas une simple collecte de données : c'est un acte d'appartenance, de reconnaissance et d'engagement collectif pour l'avenir du pays (Este é um momento histórico e transformador, que ocorre no ano em que Cabo Verde assinala os 50 anos da sua Independência nacional – uma ocasião para refletirmos sobre quem somos, de onde viemos e para onde queremos seguir como Nação soberana, coesa e global. (...) Todos os cabo-verdianos, de todas as gerações e origens, são chamados a responder a esta convocatória histórica. Este inquérito não é apenas um levantamento de dados: é um ato de pertença, reconhecimento e compromisso coletivo com o futuro do país )" (web)
Et le Gouvernement se veut rassurant: "les données collectées seront essentielles pour concevoir des politiques publiques plus justes, efficaces et inclusives, plaçant la diaspora au cœur du développement national (os dados recolhidos serão fundamentais para conceber políticas públicas mais justas, eficazes e inclusivas, colocando a diáspora no centro do desenvolvimento nacional)"
Vous y croyez-vous, bon(ne) patriote que vous êtes? Vraiment? En ces temps, où partout dans le monde, les politiciennes et politiciens qui nous gouvernent gaspillent NOTRE argent sans compter et sans rendre aucun compte, et nous pressure avec toujours plus d'impôts, de restrictions, et toujours moins d'aides sociales. Vous y croyez toujours? Libre à vous après tout.
Nous, on vous explique ce que cela veut dire des données collectées "essentielles pour concevoir des politiques publiques plus justes, efficaces et inclusives, plaçant la diaspora au cœur du développement national". On va vous demander, mes chères Cabo-verdiennes et mes chers Cabo-verdiens, vos informations générales usuelles, nom, prénom, adresses, etc., origine des parents, nombre d'enfants, peut-être même votre religion, etc., votre travail, le montant de votre salaire (pour pouvoir faire des catégories précises et mieux comprendre, soit disant), votre niveau d'études, vos diplômes, votre expérience professionnelle, etc., sans oublier vos possessions à l'étranger et au Cabo Verde (biens immobiliers en particulier, voire comptes en banque, etc.) Pour le bien de la Nation et fêter dignement les 50 ans d'Indépendance. Bravo ! Vive Ulisses ! Vive nos dirigeants (pas de féminin, il n 'a que des hommes qui dirige au Cabo Verde, volonté masculiniste d'Ulisses).
Alors n'hésitez pas! Allez-y franchement, sans douter de rien, le coeur généreux pour l'amour de la Patrie, cette chère Patrie quittée dans la douleur il y a si longtemps ou peut-être dernièrement, faute de pouvoir vivre au Cabo Verde, faute de travail, faute d'argent, faute d'aides du Gouvernement pour que vous puissiez sortir de la misère, vivre une vie normale avec femme et enfants, un toit, une voiture... Et puis...
Et puis, vient le jour où, votre amour de la mère Patrie sera mise à contribution. Ne croyez pas que "placer la diaspora au coeur du développement national" signifie que l'on va vous aider, qu'on va diminuer vos taxes sur les bidons ou les conteneurs que vous envoyés au pays pour aider la famille. Que neni. Dans "politiques plus justes, efficaces et inclusives", ce qu'il faut surtout retenir ce sont les adjectifs, que l'on peut traduire comme suit:
- justes : prendre à celles et ceux qui ont pour (soit disant) redistribuer aux plus pauvres", comprenez que le Gouvernement va vous taxer après informations prises patriotiquement en fonction de vos biens avec une imposition plus forte sur vos biens au Cabo Verde, voire, sur le modèle américain, en vous offrant généreusement une double imposition, dans votre pays de résidence (là où vous avez sué corps et âme pour avoir ce que vous avez) et au Cabo Verde (là où vous n'avez pas pu vivre, mais où vous avez peut-être acquis ou hérité de quelques biens).
- efficaces : vous pouvez en être sûr(e), l'administration nationale saura tirer au mieux parti de vos finances, faute de pouvoir le faire dans l'archipel où les trois quarts de la population n'a pas de quoi payer des impôts, à part la TVA inévitable.
- inclusives : aucun doute là-dessus, chères Cabo-verdiennes et Cabo-verdiens de l'étranger, nous pouvons vous garantir que vous allez être inclus et plus vite que vous ne le pensez. Ca, aucun doute possible. Et vous allez très très rapidement savoir pourquoi. Le "No Stress" proverbiale, emblème du pays, va s'effacer avec une fulgurance inédite, elle, pour le coup, devant la toute puissante suprématie de l'ordre mondial et de la loi du marché si cher à notre Ulisses national.
Alors, oui, écoutez toutes et tous en coeur la voie de la sagesse du Gouvernement d'Ulisses le bon, le généreux, le clément qui toujours et avant tout pense au peuple, à vous, à vous surtout qui allez payer plus d'impôts. Bravo! Quelle leçon citoyenne, quel exemple pour les générations futures, enfin en rêve. N'a-t-il pas clamé dernièrement sur son agence de presse privée Ulissesforpress qu'il était "un homme simple avec une interaction facile et une relation saine avec le pouvoir"? (web)
Considérant le fait que plus de la moitié, pour ne pas dire les deux tiers de la population du Cabo Verde vit actuellement hors du pays, et que toujours plus d'habitants émigrent depuis le Covid-19, en particulier des jeunes, vous allez pouvoir aider le pays à se construire, pour sûr. Répondez donc à ce recensement exceptionnel et inédit au plus vite, car quoi de mieux dans sa vie que de travailler dur pour permettre à nos dirigeants de dépenser librement n'importe quoi, n'importe quand, sans rendre aucun compte, le tout au frais de la princesse (autrement dit VOUS!)
On adore ! Et prendre l'anniversaire des 50 ans de l'Indépendance pour lancer cette étude est plus que révélateur. Le Gouvernement joue sur la fibre patriotique pour mieux se jouer du peuple. Mais après tout, chacune et chacun est libre de croire en ce qu'elle/il veut, même que le Gouvernement nous veut du bien. Nous, on n'y croit absolument plus. Fini. Les seules politiciennes et politiciens que nous respectons encore, le seul exécutif qui agit pour le bien du peuple, ce sont les maires et les conseillers municipaux, les présidents de Câmara et les vereadores au Cabo Verde. Point. Les autres, totalement soumis à la loi imprescriptible de l'argent, avec quelques exceptions, mais trop rares pour changer quelque chose, malheureusement. Ici ou ailleurs, c'est partout la même chose. Seul compte l'argent, l'argent et.... l'argent. Le peuple, les peuples, nos dirigeant(e)s s'en moquent. Nous ne sommes et nous resterons toujours des vaches à lait. Vous voulez des preuves. On pourrait prendre le scandale qui a éclaté aujourd'hui. Non content d'avoir truandé le Parlement européen, Marine Le Pen et ses acolytes remettent le couvert et viennent d'être mis en cause par le même Parlement pour de nouvelles irrégularités financières d'un montant de 4,3 millions d'euros. (web) Vous me direz, rien d'étonnant, ce sont des néo-fascistes racistes d'extrême droite peu scrupuleux. C'est vrai! Mais ne jetons pas la pierre sur les défaillants au cerveau atteint d'une haine incurable. Prenons des exemples de politiciennes et politiciens, de dirigeants et de dirigeantes tout ce qu'il y a de plus "correct", pense-t-on. Des gens qui disent "être pour la démocratie et pour le bien être du peuple avant tout".
En France, Gabriel Attal, secrétaire du partir Renaissance au pouvoir, a été Premier ministre du 09 janvier au 05 septembre 2024, soit même pas 8 mois. Résultat des courses, un déficit supplémentaire de 40'000 millions d'euros. Il ne justifie en aucune façon cette dépense scandaleuse, mais pire, il ne rend aucun compte non plus et envisage même de se présenter aux prochaines élections présidentielles de 2027. Par contre, pour éponger la dette, que préconise les gouvernements Barnier et Bayrou qui lui succèdent ? Tout simplement d'augmenter le taux de la TVA qui, dans l'Hexagone, est déjà à... 20%, en l'appelant la "TVA sociale", histoire d'essayer de faire passer la pillule qui ne passera pas. Ce qui équivaudrait d'ailleurs à environ 7'500 millions d'euros par an. Par contre, le Sénat et l'Assemblée nationale, soit le Parlement français, rejettent la taxe "Zucman", un impôt plancher sur les patrimoines de plus de 100 millions d'euros, qui aurait permis de percevoir jusqu'à 20'000 millions d'euros et qui n'aurait affecté que les 1'800 familles les plus riches de France (web), celles-là même qui ont augmenté leur fortune de 24'000 millions d'euros entre 2019 et 2024, soit 13 millions d'euros par... jour ! (web)
En Suisse, le 03 mars 2024, l'initiative "Mieux vivre à la retraite" qui prévoit l'octroie d'un 13e versement mensuel de la rente AVS (soit la retraite suisse) a été accepté par le peuple lors d'une votation (une élection en français hexagonalien), alors que les membres du Conseil fédéral qui dirigent le pays, en gagnant 25'000 euros par mois et une retraite à hauteur de ce salaire de super-hyper-maxi ministre, s'était empressé de rejeter l'initiative le 24 novembre déjà, car comprenez bien, les dirigeants doivent avoir de hauts salaires, de hautes retraites, mais le peuple doit se contenter de ce qu'il a, soit pas grand chose et surtout, il doit payer pour financer les hauts salaires et les hautes retraites des susdits. Une sorte de loi naturelle sauce World Economic Forum. Malgré tout, le peuple est roi, dit-on, en Suisse en particulier. Alors qu'on fait les bourgeois des Chambres fédérales et le Conseil fédéral si grassement payé d'après vous? Ils tergiversent, traînent des pieds, rechignent au maximum. Payer les pauvres ne leur plaît pas, mais alors pas du tout. A quoi bon! Les pauvres pour les politicien(ne)s ce sont des alcooliques en puissance, des violents, des imbéciles qui ne comprennent rien et pire encore. Aussi, l'idée qui émergent, avec une application du versement repoussée à décembre 2026 (alors que l'initiative a été validée en mars 2024, tranquilou, tranquilou), c'est d'augmenter la TVA d'un point (décidément nos dirigeantes et dirigeants sont en manque d'idées flagrant) et de taper sur les salaires en augmentant les cotisations, jusqu'en 2030, car après, eh bien... on ne sait pas, mais en fait, ils savent très bien. On augmentera de nouveau la TVA histoire de ne pas créer du déficit. Merveilleux non? Mais par contre, aucun problème pour le Conseil fédéral pour augmenter de 4'000 millions de francs suisses (CHF, soit 4'275 millions d'euros) les dépenses pour l'armée de 2025 à 2028, avec l'objectif d'atteindre 1% du PIB d'ici 2032. En 2024, ces dépenses ont augmenté de... 7,4%. Ainsi, le peuple paie pour gaspiller de l'argent dans de l'armement (avec arnaque à la clé, comme pour les avions de chasse F-35 américains révélée ces derniers jours (web)), mais il doit aussi payer pour obtenir une rente de plus par année qui en général ne dépasse pas les 2'000 CHF. Et je ne vous parle même pas des profits de la BNS. En 2024, celle-ci a enregistré un bénéfice de... 80'700 millions CHF (soit 86'200 millions d'euros). De quoi financer largement la 13e rente AVS, n'est-il pas. Mais ça, ce serait trop facile. Il faut que le bon peuple paie. Point !
Alors vous y croyez vous à toutes les sornettes des gouvernements, des commissions européennes, des parlements qui se succèdent depuis le tournant du siècle? Nous, plus du tout. Et le recensement, si on nous demandait conseil, on vous dirait que...
Mais personne ne nous demande rien. Alors... Bel été à toutes et tous dans ce monde de plus en plus déprimant et laid, où seule la force brute et épaisse compte (modèle Trump, climax de la non-empathie, cette empathie qui pourtant distingue l'humain de l'animal). La démocratie occidentale se meurt, la politique ne sert plus à rien ou presque, demain est un monde d'horreurs et de souffrance. Nous, on a de la chance. On aura connu le meilleur des Trente glorieuses, d'une part, et on est vieux, d'autre part. Alors... Aux jeunes de refaire un bon gros Mai 1968, aux relents de 1984, tout en jetant leurs smartphones à la poubelle, ou du moins en évitant intelligemment d'utiliser les réseaux asociaux abrutissants américains ou autres qui nous font retourner au Moyen Âge des plus sombres.
Christophe Chazalon
A Genève, le 03/07/2025

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Pierre-Joseph Laurent
A crioulização: a invenção de Cabo Verde
Praia: Livraria Pedro Cardoso
2024